
Tu laisse la lumière passer
Et tu retiens l'ombre
Je connais bien ça
J'aime le clair-obscur
Mais ce soir il me rend plein de peine
Le paradoxe est trop dur
Le bonheur de tes poèmes
Les douleurs de ta vie
Cet ineffable bonheur
Cette inextinguible douleur
Ils sont bien lourds
A chaque jour suffit sa peine
J'arrête là ma journée
pensées instantanées
pour une petite fille
qui aimait courir pieds nus
dans les rues de Téhéran
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